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Laurier
Fresque de Cíclope, collectif argentin. Grenoble - Impasse de Ganganelli.
18 juin 2025 - N° 2025062066
[Grenoble Street art]    [AILLEURS]

Philanagnosia
Fresque de WD (Wild Drawing - Bali). Grenoble, Cours Bériat
18 juin 2025 - N° 2025062044

3 COMMENTAIRES :
1 ALPIMAGES - 18/06/2025
Détail de la fresque de WD:


2 Le 21/06/2025 - Posté par Anonyme
J'adore !
Alpimages:
En HAUT    

3 Le 13/07/2025 - Posté par MGi
Belle et habile fresque : je m’interroge pour comprendre pourquoi on voit la tranche du livre faire saillie en avant et au dessus du toit !?
Bravos à l’artiste et au preneur de vue

Alpimages: Merci pour cette remarque très pertinente. Le bout du livre est peint sur un petit décrochement en saillie du bâtiment.



Flourish
Fresque de Snik (duo artistique britannique) - Saint-Martin-d'Hères, rue des Taillées
13 juin 2025 - N° 2025061933

1 COMMENTAIRE :
ALPIMAGES - 14/06/2025
Snik, After dawn - 2025. Stencil découpé à la main, peinture en spray et acrylique sur toile. Grenoble - Expo street art Ancien Musée-Bibliothèque (13/06/2025):




Le style de SNIK se caractérise par une esthétique onirique et poétique, mêlant des portraits éthérés à des scènes figées d’action dynamique. Leur approche vise à capturer la beauté du quotidien à travers des détails subtils tels que des mèches de cheveux enchevêtrées ou les plis d’un tissu, sublimés par des jeux d’ombres et de textures. Voir Streetartfest



La fille dans le train
Fresque de KogaOne. Rue des Taillées, Saint-Martin-d’Hères
13 juin 2025 - N° 2025061904

1 COMMENTAIRE :
ALPIMAGES - 09/07/2025
L'auteur décrit sa fresque avec ce texte:
Cette fresque représente une jeune fille assise dans un train. Mais il ne s’agit pas simplement d’un portrait : c’est une image en mouvement, une tentative de capter ce qui glisse entre les doigts quand on essaie de retenir un instant.

Le train, c’est un espace de transition. On quitte quelque chose, on va vers autre chose, sans être vraiment nulle part. C’est ce moment suspendu que j’ai voulu traduire. Le visage de la jeune fille se dédouble, se floute, comme s’il appartenait déjà au souvenir, ou à plusieurs réalités en même temps.

J’ai choisi des teintes chaudes — orangés, jaunes, ocres — pour évoquer une certaine nostalgie. Elles contrastent avec les formes abstraites, plus sombres, qui viennent perturber la clarté de l’image. C’est là que se joue ce que je cherche souvent dans mon travail : une tension entre le réel et l’abstrait, entre ce qu’on voit clairement et ce qu’on ressent de manière plus floue.

Je n’ai pas voulu tout dire. L’idée, c’est plutôt de laisser une impression, une émotion ouverte. Une image qui ne se regarde pas seulement, mais qui se ressent.

Koga One



Mes oiseaux de passage
Grenoble, musée archéologique Saint-Laurent, exposition Kaarina Kaikkonen.

"Cette œuvre monumentale nous rappelle que les êtres humains ne sont que de passage sur terre. Comme des oiseaux traversant le ciel, nous laissons derrière nous des fragments de mémoire avant de poursuivre notre voyage, éphémères et pourtant inscrits dans le grand cycle du vivant.
En utilisant des vêtements ayant appartenu à des inconnus, Kaarina Kaikkonen donne une dimension intime et universelle à son art, évoquant les absences, les relations humaines et les traces laisssées par chacun."
8 mai 2025 - N° 2025050288

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